Les dix-neuf nouvelles qui composent Corps imaginaires nous entraînent du côté des apparences, de celle des corps jeunes ou vieillissants, magnifiés par l’art, mais immobilisés dans l’espace clos et le temps suspendu des musées. Par le biais d’une écriture à la fois empathique et impitoyable, Claudine Potvin parle de la permanence du désir et de la quête d’immortalité qui nous habite, tous autant que nous sommes.